A ce prix, le pétrole brut n’est pas cher, de même que le litre de super à 1,50 euro. Le cours du baril sur le marché new-yorkais retrouve aujourd’hui la cote qu’il avait atteinte en 1980, tandis que l’achat d’un litre d’essence nécessite deux fois moins d’heures de smic qu’il y a vingt-sept ans. Ces niveaux nous paraissent élevés car nous nous sommes habitués à des prix extrêmement bas entretenus par les multinationales du pétrole, puis par l’OPEP. Cette époque est révolue. Désormais, les (...)
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