L’affrontement qui s’est soldé par la mort de 16 mineurs, les 5 et 6 octobre, à Huanuni (département d’Oruro), a été un choc pour les Boliviens et surtout pour le gouvernement d’Evo Morales (gauche), qui a pris ses fonctions en janvier.
"L’instabilité est de retour", titrait l’hebdomadaire centriste Pulso, le lendemain de la tragédie. Sous les dorures du Palacio Quemado, le palais présidentiel, le premier chef d’Etat bolivien d’origine indigène ne cache pas son amertume : "La hausse des (...)
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